Derrière une intervention, il y a toute une chaîne d’acteurs, mais dans tous les cas de figure, l’étape finale reste la facturation. Un élément central qui va clore le dossier. D’un côté des petites PME et de l’autre de grands constructeurs internationaux, comment opérer cette transaction qui inclut aussi une notion de performance de façon optimale ? Voici nos 3 conseils pour une gestion de la facturation efficace et agile.

1) Préparer en amont l’étape de la facturation

La facturation est souvent une source de stress pour le sous-traitant quand cette étape n’est pas traitée comme un élément clé du processus. Il ne s’agit pas seulement d’un paiement, lié ou non à un rapport de performance, la facture est le document qui notifie la fin d’un dossier. C’est l’occasion pour les différents intervenants de clôturer sereinement une intervention. C’est pourquoi, il faut s’assurer que toutes les pièces justificatives sont présentes. En ajoutant une étape intermédiaire entre la fin de la réparation et la facturation, on permet à chacun d’évaluer son action, de vérifier les informations, d’échanger sur un point dans un cadre de confiance sur la base d’un transfert d’informations. Au sein d’Agoragroup, tous nos rapports d’interventions incluent, en amont de la facturation, un système de vérification intelligent afin de réduire les litiges autour de la facturation.

2) Choisir la transparence de la facturation

En privilégiant la transparence sur les éléments de facturation et notamment sur les notions de performance, les fabricants développent une relation de confiance avec les stations techniques. En effet, il est essentiel que la facturation soit claire et lisible pour chacun des acteurs afin de pouvoir améliorer la performance et réduire les conflits. Chez Agoragroup, nous proposons la même visibilité pour le constructeur et le réparateur. Nous encourageons une collaboration basée sur l’amélioration continue et la fluidité des relations.

3) S’adapter intelligemment à la réalité métier

Le volume de la facturation n’est pas forcément synonyme de deshumanisation. Il est possible de concilier digitalisation et personnalisation. La politique de facturation est très souvent définie à l’échelle européenne du côté fabricant, ce qui implique d’intégrer des variables en fonction des territoires tout en respectant des normes qui assurent une standardisation. Nous avons conçu des outils qui permettent cette flexibilité, car il nous semble essentiel de prendre en compte la réalité métier de chaque station technique.

La facturation apparaît comme un aspect complexe, car elle est souvent négligée dans les investissements informatiques. Cet élément peut devenir un outil de motivation et d’information dans la relation entre les fabricants et les stations techniques. Notre retour d’expérience nous a permis d’identifier les points de vigilance et de créer un cadre sécurisé, tout en restant flexible, afin de générer une facturation optimale.

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